Messe chrismale à Liège, le mercredi 1er avril à 18h

Amphores

Comme chaque année, nous sommes invités à nous rassembler
à la cathédrale Saint-Paul à Liège, lieu du siège de l’évêque,
pour la célébration de la messe chrismale

Cette messe, unique dans l’année est, en principe célébrée le matin du Jeudi saint ; mais pour des raisons pratiques, de nombreux diocèses, comme le nôtre, organisent la célébration de manière anticipée.

Pourquoi cette messe est-elle appelée chrismale ?

La messe chrismale reçoit cette appellation parce que c’est au cours de cette célébration que le Saint Chrême est consacré. Cette huile servira dès les baptêmes de Pâques puis tout au long de l’année pour les sacrements du baptême, de la confirmation et de l’ordre. (Article sur http://www.liturgiecatholique.fr/Qu-est-ce-que-la-messe-chrismale.html)

À la suite de Mgr Jousten, Mgr Delville fait de cette célébration une occasion de retrouvailles et de fête pour tous les fidèles de notre diocèse, et invite donc chacun d’entre nous à se joindre à la messe chrismale !

Vidéo à (re)voir !

*****

L’équipe pastorale prendra part à cette célébration et vous propose un co-voiturage au départ de Theux. Rendez-vous au cimetière de Theux, le mercredi 1er avril à 16h30.

Merci de vous annoncer, par courriel ou par téléphone, à la permanence de notre Unité pastorale, avant le 31 mars !

Vous pouvez également nous envoyer un message via ce formulaire : 

Retour

Votre message a été envoyé

Attention
Attention
Attention
Attention
Attention

Attention !

#Together in Peace!* – Liberté et respect, marche à Bruxelles ce dimanche 15 mars


TogetherforPeace

Les représentants des cultes reconnus et de la laïcité ont publié, ce mardi 10 mars, une carte blanche au sujet de la manifestation Together in peace. Liberté et respect de dimanche prochain

Le texte est disponible ici. Il a été publié en intégralité dans le journal Le Soir et, en néerlandais, dans De Standaard.

Vous êtes invités à adhérer à la carte blanche en la signant en ligne ici.

* * *

Notre évêque, Mgr Delville, et Sant’Egidio vous invitent aussi à participer à cette marche dans les rues de Bruxelles. L’initiative est un fruit concret de la rencontre pour la paix La Paix est l’avenir du mois de septembre dernier à Anvers. Il s’agit aussi de notre réponse au climat actuel de peur et de polarisation.

Plus de 80 associations se sont déjà engagées comme partenaires.

Le rassemblement est à 13h30, au « Mégaphone », avenue de Stalingrad, près de la Gare du Midi. Le départ est fixé à 14h. Des haltes sont prévues devant une mosquée, la cathédrale orthodoxe, une maison de la laïcité, un temple protestant, une église catholique et une synagogue. L’arrivée est prévue vers 16h à la place Poelaert et la fin de l’événement vers 16h30.

* * *

Que pouvez-vous faire ?

– Vous associer à la carte blanche en la signant (voir ci-dessus).

– Imprimer l’affiche (en haut de l’article) et l’apposer visiblement à votre fenêtre.

Etre présent à la Marche en mobilisant des personnes autour de vous. La Marche a un caractère familial, sans slogan ni drapeau (sauf celui des organisations qui participent), avec le seul mot d’ordre Together in Peace. Liberté et respect.

– Faire savoir à l’adresse info@togetherinpeace.be à combien de personnes vous serez présents.

– Vous signaler comme organisation partenaire.

Diffuser la vidéo Hugs for peace (Des bisous pour la paix !) autour de vous comme promotion de l’événement http://togetherinpeace.be/together-in-peace-diffuser

– Diffuser l’information par mail, sur Twitter #TogetherinPeace ou sur Facebook https://www.facebook.com/togetherinpeace2015

MERCI POUR VOTRE PARTICIPATION !

* Ensemble dans la Paix !

Appel au jeûne et à la prière

DeuxMainsFO

Mgr Jean-Pierre Delville invite les communautés chrétiennes à vivre le mardi 11 février une journée de jeûne et de prière, avant le vote sur l’euthanasie prévu au Parlement

En accord avec le Conseil épiscopal de Liège et après concertation avec les évêques de Belgique, j’invite les communautés chrétiennes à vivre le mardi 11 février une journée de jeûne et de prière, avant le vote sur l’euthanasie prévu au Parlement. Nous aimerions éveiller les consciences et provoquer un ultime débat public au moment où notre pays risque de se donner une législation étendant la possibilité de l’euthanasie à des personnes mineures.

Le diocèse de Liège a choisi pour cela la Journée mondiale des malades, le 11 février. C’est aussi la fête de Notre-Dame de Lourdes et l’anniversaire de la 5ème apparition de Banneux, lorsque la Vierge dit à Mariette, en 1933 : Je viens soulager la souffrance.

Nous serons heureux si d’autres chrétiens, des croyants d’autres religions ainsi que des agnostiques ou des athées nous rejoignent dans cette démarche, qui est d’abord d’ordre philosophique, selon des modalités adaptées à leurs propres convictions. Dans cette ligne le Conseil de l’Europe ce jeudi 30 janvier a publié une forte critique envers le projet belge d’euthanasie des enfants.

Nous invitons nos concitoyens à réfléchir aux points suivants :

La menace pesant sur les mineurs d’âge. Beaucoup de personnes professionnellement proches des mineurs d’âge attestent que la demande d’euthanasie émanant de ces derniers est rarissime. C’est en tout cas le constat fait dans les Pays-Bas voisins, qui se sont pourtant dotés d’une législation ouverte à cette extension de l’euthanasie. Extension étonnante quand on sait que, en d’autres domaines de la vie, bien moins décisifs que la résolution de se faire euthanasier, les mineurs d’âge sont jugés incapables de décisions importantes pour leur vie économique ou affective !

L’importance des sédatifs et des soins palliatifs pour mourir dans la dignité. En Belgique, où les demandes anticipées d’euthanasie d’adultes se multiplient dangereusement, le risque est grand qu’en élargissant l’offre aux mineurs, la loi projetée ne suscite artificiellement la demande. Et cela, alors que nous disposons de soins palliatifs performants, ainsi que de sédatifs adaptés et progressifs dans les cas de douleur rebelle, pour rencontrer, comme il faut le faire, l’immense détresse physique et psychique des personnes qui souffrent et s’approchent de la mort, même si ces moyens palliatifs ont pour conséquence d’abréger quelque peu la vie, ce qui est moralement acceptable. Mais une mort douce, paisible, dans la dignité, n’est pas synonyme de l’euthanasie, laquelle, de manière directe et en quelques minutes, provoque délibérément la mort. Il y a un monde de différence entre les deux, tant dans l’intention que dans la procédure employée.

La dignité de toute vie humaine. L’expérience a déjà montré que, dès qu’on transgresse l’interdit fondamental de toute société humaine, à savoir l’interdit de tuer un être humain innocent, il est impossible de refermer la porte que l’on a entr’ouverte. Au contraire, elle a tendance à s’ouvrir toujours plus largement. Ainsi la loi déjà en vigueur concernant l’euthanasie excluait la prise en compte des mineurs d’âge. Mais la loi aujourd’hui projetée l’inclut. Un mouvement s’est mis en route, qui risque de ne jamais s’arrêter. On finira, dans certains cas, par présumer le consentement qui n’a pas été donné ou n’a pas pu l’être. Par contre, nous nous refusons, comme certains osent le faire, à émettre l’hypothèse qu’on en viendra peut-être un jour à supposer ce consentement dans le chef de mineurs handicapés mentalement, dès lors qu’ils sont par définition incapables d’un jugement mûrement délibéré. Nous sommes fermement convaincus que jamais notre pays ne se laissera entraîner à une telle dérive. En revanche, à plus court terme, le risque n’est pas nul qu’on se demande un jour si une nouvelle loi ou une jurisprudence invoquant le principe de non-discrimination ne devraient pas faire cesser une discrimination, celle qui consiste à ne pas prendre en compte le critère de la souffrance psychique quand il s’agit de mineurs d’âge.

Le danger d’une euthanasie des personnes fragiles. D’autres projets de loi sont déjà prêts pour, à l’autre bout de la vie humaine, ouvrir l’euthanasie aux personnes démentes, n’ayant plus une conscience claire de leur identité personnelle, pourvu qu’elles en aient fait anticipativement la demande écrite. Redoutable perspective, qui va exercer une pression insidieuse sur les personnes âgées craignant de peser plus tard sur leur entourage ! Beaucoup de personnes âgées vont se convaincre qu’elles feraient preuve d’un grand égoïsme en ne faisant pas cette demande anticipée… C’est ainsi que s’effritera progressivement l’admirable solidarité qui unit les personnes démentes, leurs familles et tout le monde médical et paramédical qui entoure ces personnes de soins pleins d’humanité, de compétence et de tendresse. Comme solution aux inévitables fragilités de l’existence humaine, surtout quand elle arrive à son déclin, on n’offrira plus aux personnes démentes que la décision solitaire de prévoir à temps leur sortie de ce monde lorsque d’autres en jugeront le temps venu. Il n’est que trop prévisible qu’un élargissement ultérieur de la loi permettra de présumer raisonnablement le consentement de la personne démente, dès lors qu’il ne manque qu’une petite signature en bas d’un document… De plus, comme c’est déjà le cas, beaucoup de personnes âgées et potentiellement démentes, seront tentées de demander l’euthanasie pour ne pas être à charge de leur entourage, voire, à la limite, pour cause de vieillesse et de perte du goût de la vie. Ce sera alors une sorte d’« euthanasie » d’un autre genre, celle de la solidarité même qui doit unir les plus vaillants aux plus fragiles. Enfin, il n’est pas non plus exclu que des considérations d’économie en arrivent un jour à recommander indirectement l’euthanasie pour des raisons de finances publiques ou de solvabilité des institutions de soin.

La dignité humaine devient l’objet d’un jugement subjectif. En dernier lieu, l’on entend souvent dire que la décision de se faire euthanasier est une simple question de liberté personnelle, de libre disposition de soi, et que la loi n’impose à personne d’y recourir. C’est oublier que cette prétendue décision purement individuelle exerce, surtout quand elle se multiplie, une redoutable pression sur la liberté de tous les soignants, ainsi que sur celle des institutions de soin qui sont opposées à l’euthanasie et, finalement, sur les personnes les plus fragiles de la société. La dignité de la vie humaine n’est dès lors plus liée à la nature de la vie humaine, mais au ressenti qu’on éprouve à ce sujet. Cette dignité devient l’objet d’un jugement subjectif.

Nous osons donc dire à nos concitoyens, en payant de notre personne : Il n’est pas trop tard, mais il est temps ! Secouons notre propre conscience et aussi, avec respect, celle de nos frères et sœurs en humanité. L’histoire ne sert jamais deux fois les mêmes plats ni les mêmes circonstances. C’est donc aujourd’hui qu’il faut agir.

Concrètement, outre l’appel au jeûne, nous organisons une veillée de prière à Liège à la Cathédrale le mardi 11 février à 18h.

Chaque communauté est invitée à organiser une prière à cette fin (proposition à télécharger) ou à insérer une intention de prière (idem, proposition à télécharger) à ce sujet dans la prière universelle de la messe dominicale.

Un article éclairant sur ce sujet, signé par de nombreux pédiatres, est à télécharger également : Fin de vie des enfants : une loi inutile et précipitée (dans La Libre Belgique).

Nous vous remercions de votre collaboration et vous disons avec insistance notre attente, en ce moment très grave où nous devons absolument en appeler, par un engagement résolu, au débat public et citoyen.

+ Jean-Pierre Delville, évêque de Liège

A télécharger : l’article dans La Libre Belgique (euthanasie) * Intention spéciale pour la prière universelle * Schéma pour une veillée de prière

La Dernière Heure relaie l’appel de notre évêque:

http://www.dhnet.be/dernieres-depeches/belga/l-eveche-de-liege-lance-une-journee-de-jeune-et-de-priere-contre-l-euthanasie-des-mineurs-52ecfbd63570e5b8eeec29c3

Et La Libre réfléchit à l’enjeu démocratique: http://www.lalibre.be/debats/edito/edito-la-sagesse-de-l-eglise-belge-52ec04f23570e5b8eeeb9e83#.Uu1ZskuhSH0.facebook

Lettre pastorale de la Concertation oecuménique

Les membres de la Concertation œcuménique de la province de Liège (regroupant catholiques, orthodoxes et protestants) ont rencontré les syndicats d’ArcelorMittal le 26 novembre dernier. A la suite de cette rencontre, ils ont publié une lettre pastorale au sujet de la situation économique et du problème spécifique auxquels sont confrontés les travailleurs de cette entreprise. Ils ont aussi appelé les chrétiens à apporter à leurs frères et sœurs, touchés par les problèmes d’emploi, le soutien de leur prière et de leur réflexion.

Voici le texte de cette lettre:

Chers Frères et Sœurs,

Tous les chrétiens : catholiques, protestants, orthodoxes, syriaques et anglicans, vivent actuellement la période qui prépare à Noël. Noël, une fête que l’on imagine chaleureuse, en famille, autour de la table, avec les lumières du sapin et pour certains, la douceur de la crèche. Une fête qui, cette année, aura un goût amer pour 1.300 familles dans la région liégeoise, celles dont le père, le frère, le fils… travaillaient chez ArcelorMittal. Des familles, des hommes, des femmes, qui vont se trouver dans des difficultés qui ne seront pas que financières. Certains n’en ont pas supporté l’idée et ont mis fin à une vie qui leur paraissait insupportable. Ce sont là tous les éléments du drame humain qui est en train de se jouer et auquel nous ne pouvons rester indifférents.

L’Église du Christ, écrit le théologien orthodoxe père Serge Boulgakoff, l’Église du Christ n’est pas une institution; c’est une vie nouvelle avec le Christ et en Christ, dirigée par l’Esprit Saint. Et l’Église du Christ est vivante dans ce monde, elle se nourrit de l’Évangile et de son message de l’amour du prochain qui peut se traduire en charité mais aussi en solidarité. L’Église se doit ainsi d’être à côté de ceux qui sont dans la détresse. C’est pourquoi les représentants des Églises chrétiennes de la province de Liège (rassemblés en Concertation œcuménique) ont rencontré fin novembre des délégués syndicaux d’ArcelorMittal. Pour entendre leurs maigres espoirs mais surtout leurs craintes qui portent leur volonté de défendre les centaines de travailleurs qui risquent d’être sacrifiés au profit de quelques-uns. Le dommage social est d’abord un dommage humain : c’est le drame d’hommes et de femmes touchés dans ce qui leur est essentiel : se loger, se nourrir, pouvoir vivre dignement.

Mais l’enjeu dépasse cette situation de la sidérurgie dans le bassin liégeois : il est celui du droit des peuples à vivre dans des sociétés basées sur autre chose que sur l’intérêt des plus riches. La racine de tous les maux, en effet, c’est l’amour de l’argent (1Ti 6, 10), écrit l’apôtre Paul à Timothée ; et Jésus ajoute : Nul ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l’un et aimera l’autre, ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent (Mt 6, 24).

Notre société veut délaisser Dieu, mais elle a fait de l’argent une nouvelle idole à laquelle on sacrifie des hommes, des femmes, sur l’autel du profit, aux hymnes de rentabilité, productivité, efficacité. Les multinationales préfèrent rémunérer leurs actionnaires plutôt qu’assurer le travail de leurs ouvriers ou le développement de la région où elles sont installées. On ne parle plus aujourd’hui de service du personnel, mais de ressources humaines. Comme il y a des ressources naturelles, des ressources énergétiques. Le processus de licenciement collectif est aujourd’hui un phénomène mondial.

On considère l’être humain comme un bien de consommation, écrit le pape François, on peut l’utiliser et ensuite le jeter. Nous avons mis en route une culture du « déchet », qui est même promue. Alors que les gains d’un petit nombre s’accroissent exponentiellement, ceux de la majorité se situent d’une façon toujours plus éloignée du bien-être de cette heureuse minorité. Ce déséquilibre procède d’idéologies qui défendent l’autonomie absolue des marchés et la spéculation financière. L’argent doit servir et non pas gouverner!

Dans l’évangile de saint Luc, le passage relatif à la naissance de Jésus nous dit, à propos de Lui et de ses parents (Lc 2, 7) : Il n’y avait pas de place pour eux dans la salle commune. De même, aujourd’hui, il n’y a pas de place dans la société pour certaines catégories de personnes, spécialement celles qu’on prive de travail. Jésus a voulu naître solidaire de ceux qui sont privés de leurs biens. Cependant cette pauvreté de Jésus est aussi un signe. Comme le disent les anges aux bergers : Voilà le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire (Lc 2, 12). Et ils ajoutent leur chant : Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur terre aux hommes qu’il aime. C’est un chant d’espérance, car grâce à la petitesse de Jésus, naît une nouvelle solidarité humaine, ainsi qu’une nouvelle proximité de Dieu.

Ce témoignage de Jésus souligne toute l’importance des valeurs humaines dans notre société, des valeurs de l’être humain en tant que personne et non en tant que main d’œuvre ou consommateur.

Que pouvons-nous faire ? Nous rappelant avant tout que l’Église c’est vous, c’est nous, chacun pour notre part et à la mesure de nos possibilités, nous pouvons prier pour tous ceux qui sont victimes de ces décisions purement financières et fondamentalement inhumaines. Parce que la prière est notre force. Nous pouvons aussi stimuler l’aide et l’écoute vis-à-vis des victimes des licenciements, peut-être par des initiatives concrètes que nous pourrions, en Concertation œcuménique, appuyer ou coordonner.

D’une manière plus large, avec l’aide de l’Esprit-Saint, nous devons laisser se convertir notre propre regard, celui que nous portons sur notre prochain mais aussi sur ce qui donne réellement sens et valeur à notre existence. Ce faisant, nous nous rendrons mieux aptes à nous (re)positionner vis-à-vis de nos propres comportements, qui parfois nous rendent complices de mécanismes vecteurs d’iniquités. Mais surtout, spirituellement éveillés, nous serons capables de rejoindre, dans une réelle et dynamique compassion, le désarroi et la souffrance de celles et ceux qui, totalement démunis face à l’injustice de leur sort, désespèrent de la vie.

Il nous paraît important que les communautés et paroisses prennent conscience de l’enjeu et des risques de cette situation à ArcelorMittal. C’est pourquoi nous avons rédigé cette lettre pastorale. Elle a été approuvée par les représentants de toutes les Églises chrétiennes de la Province de Liège unis, avec l’évêque de Liège, en Concertation œcuménique.

Que notre attitude porte témoignage de notre foi car le Seigneur lui–même a dit : Non, je ne te lâcherai pas, je ne t’abandonnerai pas ! (He 13, 5).

Mgr Jean-Pierre Delville, évêque catholique de Liège
Hiéromoine Guy Fontaine, Église orthodoxe russe, Président de la Concertation
Pasteur Vincent Tonnon, Église Protestante Unie de Belgique
Abbé François Dabin, catholique
Prêtre Nikolaos Palamianakis, Église orthodoxe grecque
Révérend Paul Yiend, Église anglicane
Hypodiacre Fikri Gabriel, Église syriaque