Collecte de Pentecôte : soutenons la formation des catéchistes de notre diocèse !

Voici l’invitation que nous adresse notre évêque, Mgr Jean-Pierre Delville,
à propos de la collecte de Pentecôte, traditionnellement réservée,
dans notre diocèse, à une pastorale spécifique

Comme chaque année, la collecte de Pentecôte est destinée à soutenir le diocèse de Liège dans son action pastorale. Cette année, je voudrais mettre en relief notamment les besoins de la catéchèse et de la liturgie. La formation des catéchistes et des membres des équipes liturgiques se fait au sein du vicariat Annoncer l’Évangile*. Cette formation entraîne des frais importants d’encadrement et d’infrastructure.

Elle permet au Vicariat d’être au service de la catéchèse et de la liturgie dans toutes les Unités pastorales et les paroisses du diocèse.

C’est pourquoi je vous invite à être généreux pour notre Église diocésaine, notamment lors des messes dominicales des 23 et 24 mai !

Mgr Delville pt

Liège, 13 mai 2015,
+ Jean-Pierre Delville

 * Vicariat auquel collabore Martine Lewis, notre assistante paroissiale, qui y est responsable du Service Catéchuménat !

Non ! L’austérité ne peut pas porter atteinte à la dignité de l’homme !

Le vicariat épiscopal Évangile & Vie du diocèse de Liège s’occupe tout particulièrement des questions liées aux personnes en difficulté (santé, prisons, personnes avec un handicap, etc.) : inquiet des restrictions financières annoncées, son responsable, l’abbé Baudouin Charpentier, réclame une attention aux plus petits, dans un communiqué envoyé à la presse ce vendredi 28 novembre

Non l’austérité ne peut pas porter atteinte à la dignité des êtres humains, surtout des plus fragiles. Depuis quelques semaines toutes les mesures politiques vont dans le même sens : austérité et restrictions budgétaires.

Que nos finances publiques soient bien gérées est une chose, mais réduire aveuglément tous les budgets est autre chose. Ainsi nous sommes outrés de constater les dégâts causés par les restrictions imposées aux établissement de défense sociale, tel celui de Paifve.

La conséquence directe de ces restrictions est que les soins accordés aux patients souffrants de troubles psychiatriques seront supprimés faute de psychologues et d’intervenants sociaux. Quant une société renonce à soigner ses malades, quand elle abandonne ses membres les plus fragiles, peut-elle encore se dire civilisée?

C’est à notre capacité de solidarité et de fraternité que nous pouvons évaluer notre humanité. Nous interpellons donc tous les responsables politiques de notre pays : votre rôle premier est de protéger les faibles. Parmi eux, il faut compter les personnes souffrant de maladie psychiatrique.

Votre responsabilité est de leur octroyer les soins nécessaires et conforme à la dignité de tout être humain !

Baudouin CHARPENTIER,
Vicaire épiscopal,
Diocèse de Liège