L’homme envoie des sondes spatiales
jusqu’aux extrêmes limites du système solaire,
mais il ne sait pas « sonder » son propre cœur.
Il se déplace plus aisément dans le macrocosme
que dans le microcosme qu’il est lui-même.
Il est porté plus à l’évasion qu’au recueillement…
Beaucoup ont peur du silence.
L’humanité est malade de bruit.
Père Raniero Cantalamessa, ofm
Retrouvons, au cours des jours à venir,
quelques moments dans la journée pour « sonder » notre cœur !
P.S. Merci à Jean J. pour son envoi et à Jean-François Kieffer pour son dessin !
