Il faut que n’importe quel passant qui assiste à la liturgie
perçoive l’appel du silence dont elle procède,
et ne puisse s’étonner quand on lui dira
qu’elle est l’évocation réelle
de la mort d’amour du Fils de Dieu.
Il faut qu’il y découvre son cœur brûlant
d’une lumière inconnue et
qu’il devine le Seigneur à la fraction du pain.
Père Maurice Zundel, Le vrai monde n’est pas encore, Sarment, 2011.
P.S. Merci à Jean-François Kieffer !