à l’église Saint-Augustin à Juslenville
L’action solidaire et le monde artistique se rencontrent.
Nicolas Hanlet et Gérard Malherbe, deux musiciens passionnés de jazz,
ont sonorisé la bande dessinée Silence de Didier Comès.
Lire en musique pour mieux goûter l’émotion d’un texte,
voilà une proposition qui nous a séduits et
que nous voudrions partager en
suivant les pas du héros de l’histoire :
Silence.
Mais qu’est (et qui est) Silence ?
Notre Unité pastorale a fêté Marie en son Assomption,Comme toujours à Juslenville, tout était remarquablement préparé, et notamment :
Les innombrables Marie ont été célébrées dès l’accueil par M. le Curé, l’abbé Jean-Marc Ista, et applaudies chaleureusement par toute l’assemblée.
Et comme quelques photos valent mieux qu’un discours…
P.S. Les photos du montage ci-dessus sont placées dans un ordre aléatoire : chaque fois que vous ouvrez la page, vous les voyez dans un ordre différent.
Une église où il ne manquait que des chaises… une assemblée priante et participante, les enfants du catéchisme venus en masse pour embellir la célébration, la chorale et l’organistes en grande forme et l’abbé Gilbert Muytjens qui nous a emmenés au pied de l’enfant-Dieu…
Que vouloir de plus !
Pour découvrir le conte et sa mise en scène, cliquez ici : Conte des 4 bougies
La messe était célébrée par l’abbé Jean-Marc Ista, curé de l’Unité pastorale de Theux, qui a commenté les trois lectures du jour :
en les éclairant par l’enseignement de saint Augustin (+ 430) : jeune homme à la vie intellectuelle tout d’abord tourmentée et à la vie personnelle bien mouvementée, s’est converti au christianisme, est devenu évêque d’Hippone (en Algérie actuellement)… et l’un des chantres de l’amour de Dieu pour l’homme ! (Il est d’ailleurs souvent représenté avec un cœur en main, comme sur sa statue présente dans l’église de Juslenville.)
Notre curé a cité ce passage célèbre des Confessions, récit autobiographique de saint Augustin :
Bien tard je t’ai aimée,
ô beauté si ancienne et si nouvelle,
bien tard je t’ai aimée !
Et voici que tu étais au-dedans, et moi au-dehors
et c’est là que je te cherchais,
et sur la grâce de ces choses que tu as faites,
pauvre disgracié, je me ruais !
Tu étais avec moi et je n’étais pas avec toi ;
elles me retenaient loin de toi, ces choses qui pourtant,
si elles n’existaient pas en toi, n’existeraient pas !
SAINT-JEAN-BAPTISTE EN LA FENÊTRE DE THEUX 