Un carême sans eucharistie : quel sens donner à cette privation ?

Ce jeudi 12 mars, les évêques de Belgique ont décidé de suspendre les célébrations eucharistiques (entre autres) jusqu’au 3 avril, avant-veille du Dimanche des Rameaux.

Les fidèles se voient ainsi contraints à un « jeûne eucharistique » inattendu en plein carême. Comment traverser spirituellement cette période particulière ?

Il s’agit d’une mesure inédite : les célébrations liturgiques publiques, notamment les eucharisties, sont suspendues en pleine période de carême, en raison du risque de transmission du coronavirus. Cette décision a été communiquée ce jeudi 12 mars par les évêques de Belgique, quelques heures avant l’annonce, par la Première ministre Sophie Wilmès, de mesures renforcées pour limiter la propagation de la maladie : manifestations récréatives supprimées, cours suspendus dans les écoles, restaurants fermés…

La décision des évêques frappe, voire choque nombre de chrétiens. Les personnes déjà fragilisées, en raison de l’âge, de la maladie ou de la solitude se trouvent ainsi privées d’un soutien spirituel, et humain tout simplement, même si cette mesure est pleinement justifiée par ailleurs, et d’ailleurs devenue obligatoire au vu des décisions prises par les autorités publiques.

Comment réagir spirituellement à ce que l’on pourrait appeler un « jeûne eucharistique » imposé ?

Lire la suite de cet article de Christophe Herinckx sur CathoBel

Photo : CdT – Israël – Tous droits réservés

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