Temps de Noël 2020 dans l’UP de Theux

Quelques informations générales
de notre Curé

 

 

Suite à une rencontre entre les représentants des cultes et le ministre de la justice, les services religieux sont autorisés en théorie, depuis le dimanche 13 décembre, avec 15 personnes -sans tenir compte des superficies.

Après un message des Évêques rappelant le contexte sanitaire et la nécessité de collaborer aux efforts des autorités, chaque Diocèse devait se déterminer sur les messes.

Notre Vicaire général Éric de Beukelaer nous a donc fait parvenir un mail à ce sujet après concertation avec notre Évêque et son Conseil.

De nouveau, après un rappel du fil rouge donné par les Évêques, il nous a donné quelques pistes dont la première reprise ici :

La règle pour les fidèles, reste le conseil de suivre l’eucharistie dominicale et de Noël à la télévision ou via les réseaux sociaux. Il est ici rappelé la célébration en sa cathédrale, présidée par monseigneur Delville, pasteur du diocèse, qui peut être suivie tous les dimanches et le jour de Noël à 10h, sur: https://www.youtube.com/user/DoyenSaintNicolas. Malgré l’assouplissement des règles de confinement, il est donc déconseillé de multiplier les Messes, sauf pour une raison pastorale valable.

Ceci rejoint entièrement ma volonté que les célébrations quelles qu’elles soient, les passages à l’église, etc., se passent de manière sécure pour les participants et les personnes aux services.

Dans les faits, la norme est 15 personnes est évidemment trop basse pour permettre des messes dignes de ce nom, c’est-à-dire des eucharisties significatives qui rassemblent. C’est le choix pastoral fait dans notre UP depuis des années.

En plus, l’organisation matérielle d’une multiplication de messes est impensable. Par exemple, rien qu’à Theux un dimanche normal, il faudrait trois messes  avec des inscriptions qui disperseraient la communauté sur la matinée. De même dans la plupart de nos communautés paroissiales.

Il faut aussi penser aux acteurs liturgiques, sacristain(e)s qui devraient démultiplier le temps donné, s’ils faisaient le choix de venir. Car ils sont libres aussi de rester chez eux comme tout le monde. Lire la suite « Temps de Noël 2020 dans l’UP de Theux »

ART ET FOI. SAINT GEORGES, MARTYR. 23 AVRIL

SAINT GEORGES (IVe s.) Martyr oriental de Lydda (Palestine). Fêté le 23 avril.
Patron des chevaliers et hommes d’armes, des militaires et des scouts.
Saint patron de l’Angleterre dont la fête liturgique devient la fête nationale. La Croix de saint Georges (rouge sur fond blanc), insigne des Croisés, est le drapeau anglais depuis le XIIIe s.
Patron de l’église d’Oneux où une statue, datant du début du XVIIe s., est vénérée. Il y est invoqué pour la guérison des maux d’oreille et de tête. Le pèlerin, souffrant d’une de ces affections, met sur sa tête une couronne de fer forgé et, ainsi coiffé, fait trois fois le tour du sanctuaire.

Georges est un saint martyr dont on ne connaît que le nom. Né en Orient, son culte est avéré à Lydda (Lod) en Israël, depuis la fin du IVe siècle. Selon une tradition, il était officier romain et, ayant refusé de renier sa foi chrétienne, il fut supplicié lors des persécutions de Dioclétien (de février 303 à février 304).

Description et interprétation du panneau au plafond de la nef de l’église de Theux

Revêtu d’une armure dont on aperçoit des éléments le long de son bras droit, recouverte de lanières de cuir protectrices, saint Georges est enveloppé dans un ample drapé (la palla romaine) ; le tout vise à rappeler son statut d’officier romain.

Par contre, son chapeau à larges bords relevés et orné de deux plumes est proche de celui des mousquetaires du XVIIe siècle, époque de réalisation de cette peinture.

Le saint monte un cheval blanc ; cette robe qui n’existe pas en réalité désigne un animal venu d’un autre monde. Depuis l’aube des temps, l’imagination humaine prête des facultés exceptionnelles au cheval blanc, celle de voler, de purifier et de repousser le mal. Le cheval blanc est monté par les héros ou les divinités lorsqu’ils triomphent des forces du mal.

La légende rapporte qu’un jour, saint Georges traverse une ville terrorisée par un dragon qui exige des habitants un tribut quotidien de deux jeunes gens. Ce jour-là, c’est au tour de la fille du roi d’être livrée au monstre. Georges triomphe du dragon et délivre ainsi la jeune princesse, visible derrière lui sur le panneau de l’église.[1]

Une lance à la main, transperçant le dragon, saint Georges symbolise la victoire de la foi chrétienne sur l’empire romain païen et, plus généralement, le combat de la foi contre les forces du mal.

Abbé Marcel Villers
Photo : ©KIK-IRPA. Bruxelles

[1] Michel PASTOUREAU et Gaston DUCHET-SUCHAUX, La Bible et les saints, Paris, 2017, p. 301.

 

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